Tous sur le trône !
Quand je vois à quel point tant aiment se complaire
Dans la méchanceté, voire l'aversion
J'ai du mal à trouver l'empathie exemplaire
Pour ne plus ressentir que leur perversion
Puisque mon cœur ne peut aucunement s'en plaire
Du stupre de l'amour de haute version
Quand je vois à quel point tant aiment se complaire
Dans la méchanceté, voire l'aversion.
Nous sommes tous conçus pour aller sur le trône
N'en déplaisent à ceux qui croient au bleu du sang
La royauté ne sert que la cour qui la prône
L'iniquité zéro face à la vertu : cent !
Qu'importe le racisme en bêtise synchrone
Il réduit le bon sens des gens en le suçant
Nous sommes tous conçus pour aller sur le trône
N'en déplaisent à ceux qui croient au bleu du sang.
Jamais je ne perdrai ma profonde espérance
Devant l'avenir flou de notre humanité
Tout au plus j'atteindrai mon seuil de tempérance
Pour sûr je commets-là péché de vanité !
Mais penser autrement serait une aberrance
Qui ne conviendrait point à mon urbanité
Jamais je ne perdrai ma profonde espérance
Devant l'avenir flou de notre humanité.
Marl'Aime, Poèmes de ma Vie – Triduel 24/03/2021
La dérision pour lâcher l'aversion.. je suis bien d'accord avec toi, tous ces "grands" hors sol oublient si souvent ceux d'en bas et même si nous sommes plus nombreux, ils sont plus forts que nous. L'argent, le pouvoir sont les affres de cette société, je me répète mais quoi d'autre ?
RépondreSupprimerBonsoir Sedna,
SupprimerC'est tellrment gentil de ta part de venir si prestement déposer ton charmant billet sous mon nouveau poème alors que moi je suis si souvent en retard à honorer les tiens ! Je t'en remercie infiniment. Je vois que nous avons toutes deux des opinions qui se rejoignent quant aux façons de penser et de se comporter de trop nombreux humains. Mes Amitiés sincères
bonjour marlène, je découvre ton poème , magnifique, le cri de ton coeur dénonce et tu as raison de l' écrire , je t'embrasse
RépondreSupprimerBonsoir Iris-Véronique,
SupprimerMerci pour ton billet. Tu as compris, ce que je pense tout haut je l'écris aussi ! C'est une nouvelle technique pour chasser les mauvaises herbes, qui ne servent à rien d'autre que nous pourrir la vie !
Pour moi c'est tellement une évidence que nous pourrions vivre mieux simplement avec ne serait-ce que le respect de base. Avec ce texte j'ai poussé un cri et je me sens bien maintenant.
Bisous
Pousser un cri soulage toujours.
RépondreSupprimerEt c'est bon qu'il soit entendu!
Bonsoir Letienne,
SupprimerMerci d'être passé pour m'entendre crier, cela me fait très plaisir ! Je suis en retard sur la lecture de ton livre vraiment desolée mais je te fais signe dès que je l'aurai fini. Bien amicalement
Bonjour Marlène,
RépondreSupprimerUne belle leçon de morale et de savoir vivre en ce matin ensoleillé ! Mais pourquoi ne prône t-on pas le savoir vivre ensemble en toute égalité ? On en parle certes mais ça s'arrête dans les faits de chaque jour et ce de plus en plus comme un retour en arrière...
Je retourne à mon trône d'humble reine de mon jardin fleuri !!!
Gros bisous et tous mes bravos !
Annie
Bonjour Annie,
SupprimerMerci de ce billet revigorant sous cette variante d'un triduel que j'ai simplifié. Dans mes vers, je ne fais que traduire mon état d'esprit au gré des événements qui me perturbent et qu'il me faut exorciser pour mon bien et ça marche alors je persévère.
Bon week-end et gros bisous
Il faut croire en une humanité d'amour même si la réalité des jours nous proclame le contraire... il faut croire qu'un jour sur les trônes du monde siègeront des hommes et des femmes qui rêveront de paix et de sérénité pour toute la terre
RépondreSupprimer
SupprimerBonsoir chère Marie,
Oui bien sûr qu'il faut y croire ! Seulement certains jours c'est plus dur que d'autres alors grâce à ma muse j'ôte le dard et ça repart ! Merci de ton billet qui me réjouit comme toujours. Bises
Beau cri poétique contre la bêtise raciste!
RépondreSupprimerRe -bonjour Mokhtar,
SupprimerJe viens de surfer sur votre site et mon sentiment de fierté s'est par mille décuplé de recevoir de vous un billet sous mes poèmes, à présent je suis votre obligée
Respectueuses salutations