De Verlaine à Watteau
3ème volet consacré à Verlaine et Watteau. Je pensais juste le lire et m'instruire encore mais à la nuit tombée, devinez ce qui s'est passé ? … Merci Alain !
En empruntant " L'allée " en te faisant " Cortège "
Complice de lecture après rétroliens,
De Verlaine à Watteau en flots stromboliens
Tes "coquillages " d'or, en notes de solfège,
D'émoi me font pousser des cris tyroliens
De Verlaine à Watteau en flots stromboliens !...
Marl'Aime, Poèmes de ma Vie - Villanesque 03/08/2022
Tu nous fais voyager entre les tableaux de Watteau et les vers de Verlaine...Et on regarde encore une fois les tableaux et on relit Verlaine... Et on est ébloui par l'un et par l'autre toi qui sais les réunir...
RépondreSupprimer" Verlaine place ses personnages « sous les ramures », « sous les grands arbres », « sous une charmille » , comme dans les décors de Watteau où les personnages sont dominés par les arbres qui réfléchissent une douce lumière de fin de journée ou de fin de saison."
"Les fêtes galantes de Watteau et Verlaine ne sont pas faites pour penser : elles invitent au songe. C’est l’amour ; mais c’est l’amour poétique, l’amour qui songe », se sont exclamés les frères Goncourt. Ne pas décrire, ne pas raconter, ne pas gloser mais faire ressentir. Comme fait la musique." Des mots du net anonymes...que je partage...
" Ecoutez la chanson bien douce - Qui ne pleure que pour vous plaire, - Elle est discrète, elle est légère: - Un frisson d'eau sur la mousse!" Verlaine
Bonjour Marie,
SupprimerTes billets sont toujours des régals pour celui qui les reçoit et je partage chaque mot que tu écris. Pour te remercier, loin de ces illustres artistes du passé, je te dédie cette chanson bien actuelle … Surprise !
https://youtu.be/bSVB3pSxqH0
Comme le dit Marie en parlant des Goncourt, « L’amour qui songe » nous entraîne dans le monde musical de Watteau et Verlaine. La musique de la vie nous est offerte comme un mystère.
Supprimer« Les fêtes galantes » sont un éternel bijou écrit Mallarmé. La lecture de quelques vers pris au hasard suffit pour comprendre : « Colombine »
— Do, mi, sol, mi, fa, —
Tout ce monde va,
Rit, chante
Et danse devant
Une belle enfant
Méchante
Dont les yeux pervers
Comme les yeux verts
Des chattes
Gardent ses appas
Et disent : « A bas
Les pattes ! »
Ou « La Promenade »
Et le vent doux ride l’humble bassin,
Et la lueur du soleil qu’atténue
L’ombre des bas tilleuls de l’avenue
Nous parvient bleue et mourante à dessein.
Trompeurs exquis et coquettes charmantes
Cœurs tendres mais affranchis du serment
Nous devisons délicieusement,
Et les amants lutinent les amantes
Merci Marlène et Marie.
Je crois que j'ai publié deux fois ?
Un merci étermel à toi Alain d'avoir su par tes écrits passionnés me me faire me replonger dans cet univers poétique devenu salvateur.
SupprimerBonne journée 🌈
l'art est une maison où il fait bon vivre, ici, entre peinture et écriture, le bruissement des mots est certainement le chemin à ne pas oublier pour ne pas succomber à la morosité du dehors.. Merci chère poétesse pour cet ensemble si beau !
RépondreSupprimerC'est une bouée de sauvetage qui m'empêche de couler c'est certain ! En plus je me suis trouvé des brassards de compétition pour survivre aux tsunamis suivants. Merci Lise de tes mots qui toujours m'émeuvent.
SupprimerBon après-midi
Bonjour chère Marlène,
RépondreSupprimerUn petit coucou en ces vacances de choix et d'obligation, pour saluer de nouveau ta belle plume et les charmants commentaires qui suivent, qui sont un autre régal aussi ! Je t'embrasse et te dis à bientôt pour ma "rentrée" poétique !
Annie
Bonjour Alain,
SupprimerQuelle charmante attention que cette visite sur mon site durant tes vacances pour venir me saluer, j'en suis vraiment très touchée et je te remerciedu fond du cœur.
Je t'embrasse aussi