Comme un fils
Je sais, les liens du sang sont de fibres robustes !
Dans nos veines tissés par l'amour des parents
Ils s'héritent sans cesse ; en de mailles augustes
Leurs fils font des nœuds parfois accaparants ! ...
Marl'Aime, Poèmes de ma Vie - Sonnet français 18/03/2023
Merci Marlène. Tu es vraiment une maman pour moi, et comme on disait la dernière, et tu le dis beaucoup plus joliment dans ton poème, parfois les liens des rencontres du destin sont bien plus forts que les liens de sang. Merci d'être ma mamoune. Je suis honoré par ce magnifique poème, qu'Esther à lu et aimé aussi d'ailleurs. Bisous mamoune.
RépondreSupprimerBonjour Yannick et Esther,
SupprimerMerci à tous les 2, ce billet est le doux à mon cœur. J'espère que tu feras un bon voyage jusqu'au Chili et que tu auras un bon accueil. Je vous souhaite de passer un bon week-end
Être une maman comme tu le dis si bien ce sont des liens que l'on crée au jour le jour ... être maman c'est accompagné chaque jour de sa vie l'enfant ou les enfants que le destin nous offre et que l'on accueille ...Ton poème est éloge très fort à ces liens qui se nouent au fil des jours au hasard de la vie et des rencontres... être maman c'est juste aimé, écouté, accompagné .... Ton poème est très beau... Je crois qu'en plus de mes trois enfants j'ai été un peu la mamoumette de beaucoup de mes élèves!...
RépondreSupprimerMerci Marie,
SupprimerJe suis heureuse de ton bel accueil de Maman et de Mamounette à mon poéme, il est très intime et je ne savaïs pas comment il allait être perçu.
Bon week-end
on peut être maman de plusieurs façons.. il n'y a pas que le lien de sang et je suis heureuse que tu aies trouvé des liens forts avec tes enfants de coeur.. un poème intime qui me va droit à l'âme
RépondreSupprimerBonjour Lise,
SupprimerLes mots de ton billet sont tombés au plus juste et je te remercie de ton chaleureux accueil qui m'a apporté beaucoup de plaisir.
Bon week-end
Un texte touchant.
RépondreSupprimerLes liens du sang ne sont pas nécessaires pour confier son amour à un enfant.
Il est des mères, hélas, qui ne savent rien donner. Ni à ses propres enfants, ni à ceux des autres. Les cœurs stériles ne sont pas rares.
Ma vie en a fait l'amère expérience.
Bravo pour ton sonnet, très réussi.
Bises.
Bonsoir Letienne,
SupprimerJe me sens toujours honorée de tes billets, toi le poéte libre qui n'a besoin de rimes pour pour nous émerveiller avec tes belles poésies.
Bises
Bonjour. Je découvre votre blog par les hasards de la blogosphère. Il y a tant de façons d'être maman. Il y a les liens de sang mais également tous les autres liens que l'on crée ici et là, avec amour et amitié. Belle soirée.
RépondreSupprimerBonsoir Dédé,
SupprimerJe vous remercie de votre billet qui m'a comblée de plaisir. Je viens de découvrir votre blog et j'ai été envoûtée par votre plume.
Bonne nuit
Bonjour Marlène,
RépondreSupprimerBravo pour ce poème si touchant et quel bonheur de se faire appeler Mamoune... Je tâche de me faire appeler Maminette par ma petite fille ! Un peu d'orgueil et beaucoup d'affection... N'ayant pas connu celle de ma maman ou si peu, j'ai hâte qu'elle m’appelle ainsi juste pour moi !!!
Je te félicite et je t'embrasse.
Annie
Bonsoir chére Sœur de plume,
SupprimerEt oui je ne me lasse d'agrandir ma famille pour que ma bulle déborde d'amour ! Merci de tes mots très touchants.
Je t'embrasse tendrement