Un ange volatilisé
Une souffrance et deux poèmes vibrants, merci Annie et Marie, m'ont inspiré ce pantoum en baume d'espoir...
...Célébrons les êtres en vie,
Pleurs de joie au lieu de chagrin,
Demain vient à me faire envie
Je prends le meilleur grain à grain.
Chacun file autour du mandrin
Tous les sentiments dans son livre
Je le rime en alexandrin
S'émouvoir, simplement c'est vivre !
Marl'Aime, Poèmes de ma Vie - Pantoum 25/07/2023
"S'émouvoir, simplement c'est vivre"...
RépondreSupprimerPourquoi séparer, pourquoi détruire, quand la vie simplement ne cesse de nous apprendre à aimer, à s'apprivoiser... à tendre nos mains vers les autres en signe de respect et d'écoute... Ce style de poème accentue encore ce bouquet d'émotions que tu nous offres... En conclusion je te laisse les paroles d'Enrico Macias :Qu'il soit un démon
Qu'il soit noir ou blanc,
Il a le cœur pur
Il est toute innocence
Qu'il soit né d'amour
Ou par accident
Malheur à celui qui blesse un enfant
Bonsoir Marie,
SupprimerJe guette tes doux commentaires comme une chatte la mouche qui lui plaît de regarder voler de plus en plus près avant de l'attraper.Oui d'accord avec toi certains karma devront être et seront très lourds à traverser mais seul le ciel voit l'entiereté du mal que l'on séme !!!
Bisous
je suis aussi cette disparition très étrange. Peut-être un accident dissimulé, une nouvelle affaire Gregory.. les chaînes y vont de leurs supputations. En tout cas, une famille dans la souffrance. Ton texte met en valeur la vie si précieuse et on ne peut qu'espérer qu'Emile soit toujours en vie mais le temps qui s'écoule enlève chaque jour ces brindilles d'espérance.
RépondreSupprimerBonsoir Lise,
SupprimerJe suis heureuse de te lire et ton ressenti rejoint le mien. C'est le summum de l'horreur quand des enfants ainsi disparaissent ne laissant aux parents que la plus affreuse inquiétude pendant des jours, des mois voire des années. Tout comme toi, j'espère...
Bises
Très beau et fort poème ! Merci mamoune, tes mots font du bien.
RépondreSupprimerBonjour Yannick,
SupprimerQue c'est bon de te lire à défaut de te voir ! Merci pour ce billet doux à mon cœur. Oui, pour moi aussi les mots sont un reméde quand je ne trouve plus de sens à des évènements émotionnellement trop lourds. Je prie, je rime puis je grave et ensuite je vais mieux.
Gros bisous Fiston
Bonjour Marlène,
RépondreSupprimerJe suis désolée pour mon retard à lire ce si touchant Pantoum... Je marche au ralenti à tous points de vue je crois !!!
Comme vous toutes je ne comprends plus l'être humain... Que fait cet ange parmi les fauves de notre monde ? J'ai voulu écrire aussi mais rien n'est venu... Les mots parfois n'ont même pas assez de force pour dire l'impensable...
Passe un joyeux dimanche tout de même. Gros bisous.
Annie
Bonjour Annie,
SupprimerJe te remercie pour ton billet et ne t'inquiète pas des retards, je sais exactement ce que tu traverses. De mon côté je commence juste à me satisfaire des rares apparitions de ma muse en picorant sur les blogs de mes amis poètes. Et ce pantoum est né justement après ma visite chez Marie puis chez toi.
Bon dimanche mon amie